OBJECTIF DE CET ARTICLE
Cet article va déchiffrer le signe rupestre Y. Ce déchiffrage se fera au moyen du langage idéographique proto-sumérien et de ses langues associées : le sumérien et le hiéroglyphique (ainsi que du démotique). Cet article est l’un des dix exemples de déchiffrage tirés du livre « le déchiffrage du langage des cavernes » qui illustrent concrètement le fait que les couples d’animaux et de signes relevés par les archéologues et datés du Paléolithique supérieur correspondent en fait en tous points au langage idéographique protosumérien, le plus ancien langage idéographique connu.
Table des matières
LIEN DE CET ARTICLE AVEC TOUTE LA SÉRIE LITTÉRAIRE « LA VÉRITABLE HISTOIRE DES RELIGIONS DE L’HUMANITÉ »
Cet article est extrait du livre lui aussi disponible sur ce site :
Le déchiffrage du language des cavernes
Livre que vous pourrez aussi trouver à la rubrique :
Livres déjà parus
Pour bien comprendre la raison d’être de ce livre au sein de la série littéraire la véritable histoires des religions de l’humanité, rendez-vous à la page :
Introduction / Structuration et contenu
Je vous souhaite maintenant une excellente lecture de cet article que je mets à votre disposition, dans son intégralité, ci-dessous :
Le déchiffrage du signe rupestre Y
Puisque nous en sommes à parler du cerf (cf Le déchiffrage de la fresque du cerf noir du diverticule axial de la grotte de Lascaux), il est, je crois, opportun d’expliquer le sens des signes Y qui, aux dires des observateurs, sont constants dans les représentations rupestres et sont souvent associés à des formes animales.
Je vous invite avant cela de bien réfléchir à ne pas confondre la translittération d’un signe en Y c’est-à-dire dans le son y, et le signe Y qui lui peut avoir dans les langues archaïques une tout autre façon d’être prononcé.
Nous nous intéressons ici au signe, au tracé Y et allons chercher à savoir comment le prononcer et à quel(s) signifié(s) il renvoie.
Étant donné que l’on trouve deux types de Y dans les écritures que nous avons déjà utilisées en l’occurrence le proto-cunéiforme et le démotique., il est utile de segmenter cette analyse entre les signes Y « normaux », c’est-à-dire identiques au nôtre, latin et ceux inversés.
Le signe Y normal
Proto-cunéiforme
On peut d’ores et déjà relever comme signe y le signe N°35B du tableau comparatif en annexe
Ce signe se translittère pap[1], qui nous renvoie au père humain dirigeant[2] (nous l’avons déjà énoncé dans le symbolisme de l’étoile)
De toute évidence, la forme simple désigne le père et le rajout d’un trait comme avec ou est le signe de son phallus ; ce, par analogie avec la comparaison que nous avons faite entre le signe ñiš ou ñeš et uš qui sont des logogrammes équivalents et où nous avons identifié le trait supplémentaire du rectangle de uš comme étant le signe du phallus (puisque uš désigne un phallus).
Ainsi ce y qui désigne le père, « papa » sert à la représenter en position ithyphallique, comme étant le père géniteur fertile primordial.
Démotique
Si l’on s’intéresse au sens de la forme y en démotique, il est intéressant de relever trois signifiés possibles :
Le signe s
Le signe démotique qui se translittère « s » et qui correspond au hiéroglyphique s qui nous l’avons vu, désigne « un homme, un homme de haut rang »[3] s’écrit soit soit ? :
! [4]
Voici par exemple comment s’écrit sa : [5] et comment s’écrit sA : [6] ce dernier signifiant « fils » en démotique comme en hiéroglyphique[7]
Si l’on se base sur le démotique, il faut donc considérer l’hypothèse que le y désigne le père, mais aussi le fils.
C’est fondamentalement la même personne puisque le fils est la réincarnation du père, mais ce signe mettrait alors sur la condition du père après sa régénération réussie, une fois donc réincarné en son fils.
Le signe š
Le signe qui se translittère « S » en démotique, autrement dit le parfait correspondant du rectangle hiéroglyphique que nous avons analysé, qui se translittère S[8] et qui est le symbole du père en tant que canal séminal s’écrit ou et aussi :
! et si renversé :
Comme vous pouvez le remarquer, il est analogue à l’un des signes équivalents du proto-cunéiforme c’est-à-dire : pour pab, pap, pa4 le père humain dirigeant[9].
Le signe pour « i »
Enfin, j’attire votre attention sur le fait que le « i » peut, par sa forme en T inversé, peut parfois ressembler à un y.
Par exemple : iAw [10] ou iAwt [11]
Et nous nous rappelons que « i » a le sens de « Ô / heil »…
Le signe pour « a »
En démotique le signe pour écrire « a » s’écrit ou ;
Voire les deux en même temps, comme pour « a » seul qui s’écrit [12]
Et que signifie ce « a » en démotique ? Le fait d’être grand, la grandeur, la fierté, il désigne aussi la maison, le temple, le… canal…[13] que nous savons être un symbole du père.
D’ailleurs, ce a démotique est évidemment la contrepartie du hiéroglyphique aA qui désigne aussi la grandeur et… un aîné et… un âne…[14] ! Tout se recoupe…
Le y seul peut aussi suffire pour désigner « a » :
Par exemple :
amA [15]
aan
Il est intéressant de relever que ce groupe de signe est indiqué comme relatif à HN dans le lexique démotique !! :
Vous rendez-vous compte, d’ailleurs, de ce que cette équivalence hn = aan signifie ?
C’est une confirmation ultérieure, supplémentaire, que le Hn hiéroglyphique qui, nous l’avons vu, signifie désigne l’humain et le hnn hiéroglyphique de cerf [17] ont un lien sémantique direct avec aan, qui en sumérien désigne le père élevé, l’âne son avatar[18] et est le nom du père des dieux sumérien le dieu An.
Mais, pour en revenir au y, notez que le double y sert finalement bien à dire a-a.
De sorte qu’un seul y se translittère a : le père.
Incontestablement le y est le signe du père.
Ressemblance avec le L ?
Une remarque au passage : Nous avons vu dans l’examen du cheval chinois le signe L en démotique et on peut se demander si le L démotique ne peut pas aussi assumer la forme d’un Y : comme le proto-indien ci-dessous :
Proto-indien
Pour rappel, le signe correspond vraisemblablement au L en proto-indien ressemble aussi à un .
Nous avons vu que ce L est le signe d’un cri, du père, de pleurs et lamentations.
Même si cette écriture n’a pas été déchiffrée, elle doit vraisemblablement véhiculer les sens ou l’un des sens que j’ai évoqués (étant donné la proximité temporelle, géographique entre Sumer et l’Indus) même s’il ne se prononce pas nécessairement de la même manière.
Le signe Y inversé
proto-cunéiforme
Le signe un signe Y inversé se translittère tar [19]
Or, tar emporte notamment le sens de décider et aussi de couper, détruire[20].
Ce qui nous aide à comprendre qui est ce dirigeant, ce bûcheron, ce destructeur est le fait que d / t sont elles aussi des consonnes interchangeables entre elles en sumérien[21] comme d’ailleurs aussi parfois en égyptien[22] (tout comme « ñ » « g », « k » sont des consonnes interchangeables, équivalentes entre elles en sumérien).
Or désigne dar l’équivalent de tar ?
dar désigne un bouc, un cerf, un bouquetin par duraĥ, dàra, dàr,[23] ; qui attache ou qui est attaché par dára, dár[24] ; qui coupe, brise, anéantit[25] par dar ; qui est tout à la fois élevé et dans des lieux obscurs, sombres étant allé au-delà (ou dans l’au-delà…) par dara4, dar4 …
Ainsi, il est parfaitement compréhensible que ce Y représente un animal cornu, en l’occurrence le bouc, le cerf, le bouquetin qui sont tous trois, nous le verrons plus en détail dans les livres suivants pour les différentes raisons évoquées, des figures avatars animales du père primordial.
Il sera donc d’autant plus normal de le trouver associé à des formes animales.
Notez au passage que cette brève explication fournit une première brève explication de l’identité du bouquetin qui prête ses deux cornes proéminentes sur la croupe du premier grand auroch du premier panneau de la licorne de Lascaux, cornes qui forment le signe « a » de père.
Rappel visuel :
(cf : Chapitre les signes rupestres / 3 Marsoulas le Panneau du bison / le signe des deux cornes parallèles)
en démotique
Enfin, il est remarquable de constater que le y inversé renvoie à l’humain.
En effet, notez comment rmt qui signifie « un homme » se transcrit en démotique : ou [26]
Ce rmt est bien sûr l’équivalent des hiéroglyphiques rT ou rmT rt ou rmt Tt tm qui tous signifient « un homme ou des hommes ou le genre humain » (ou les Égyptiens). Idem pour rmTt rTt, rtmt[27].
Conclusion sur le Y
Nous avons ainsi vu que le Y normal :
- en proto-cunéiforme renvoie à « papa » au pap sumérien, au géniteur fertile en position ithyphallique
- en démotique renvoie par sa à « un homme, un homme de haut rang »
- en démotique renvoie par Sa à un fils (rappel : la réincarnation du père)
- en démotique à « Ô, Heil » par « i »
- en démotique par « a » au grand, à la grandeur, au canal (synonyme symbolique de père) équivalent du hiéroglyphique aA, la grandeur, un aîné et … un âne
- par aan équivalent de Hn / hnn à l’humain, au cerf et équivalent du sumérien a-an ou an le père élevé, à son avatar de l’âne et père des dieux sumérien An.
- en démotique un double yy donne aa et un simple donne a donc il est bien question du père
Nous avons ainsi vu que le Y inversé :
- en proto-cunéiforme est un symbole par tar/dar du cerf, du bouc, avatar du père attaché, destructeur, dans une condition obscure puis élevée
- en démotique par rmt il désigne l’homme, en harmonie avec ses correspondants hiéroglyphes qui désignent l’homme, l’humain, le genre humain.
La prochaine fois que vous verrez un Y sur une fresque rupestre, il vous faudra penser à tout cela.
NOTES DE BAS DE PAGE ET RÉFÉRENCES
[1] 35B (CNIL, pp. 160, 161) ; (Falkenstein, 1936, pp. 62-66)
[2] pab, pap, pa4 : father; brother; man; leader (A.Halloran, 1999, p. 22) ; Cf Volume 4 / Lexique sumérien-français : pab, pap, pa4 = père, frère, homme, dirigeant
[3] Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français : s (z) verrou de porte récipient ornemental gerbe de flèches ou homme; quelqu’un; personne, aucun, nul; homme de rang (Faulkner, réed.2017, p. 255)
[4]The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) S, p.1
[5] Sources : https://www.hierogl.ch/hiero/Signe:N37 ; Gardiner p. 491, N37
Bassin de jardin
S bassin. S’échange souvent dans le hiéroglyphique avec N36 par exemple dans Hapyw inondations ; Comparer avec l’emploi de N36 aussi bien comme bras du Nil, que dans son emploi dans la forme antérieure N23, comme canal d’irrigation. Parfois remplace le pain (phonétique sn ) par exemple dans l’écriture de sn ouvrir.
[6] The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) S, p.1
[7] Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français : sA (zA) : fils; fils de dos asticot se rendre à entrave à bétail étable amulette, talisman protection (Faulkner, réed.2017, p. 256)
[8] Sources : https://www.hierogl.ch/hiero/Signe:N37 ; Gardiner p. 491, N37
Revoir note 5
[9] pab, pap, pa4 : father; brother; man; leader (A.Halloran, 1999, p. 22) ; Cf Volume 4 / Lexique sumérien-français : pab, pap, pa4 = père, frère, homme, dirigeant
[10]The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) i, p.4
[11]The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) i, p.4
[12]The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) a (choisir la petite lettre indiquée comme étant c), p.1
[13]The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) a (choisir la petite lettre indiquée comme étant c), p.2
[14] Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français : aA colonne, pilier grand; abondant, multiple; riche en; aîné notable; fils aîné ; grandeur porte ; bourricot, âne ; aAt ânesse. (Faulkner, réed.2017, p. 45)
[15]The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) a (choisir la petite lettre indiquée comme étant c), p.35
[16]The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) a (choisir la petite lettre indiquée comme étant c), p.44
[17] Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français : hnn cerf, daim être attentif à, prendre en considération; faire confiance à; donner son assentiment à; approuver; amadouer ; antonyme de HDn être réticent, désapprouver (néo-égyptien) (Faulkner, réed.2017, p. 196)
[18] Certes, en démotique, aan est donné pour être le singe, mais cela ne doit pas nous tromper, car le singe est aussi un de ses avatars par sa synonymie sumérienne avec le terme d’ancêtre et égyptienne avec celle d’homme ; nous verrons cela dans les livres suivants.
[19] (CNIL, p. 204)
[20] Tar : v., to cut; to decide; to determine; to inquire; to smoke; to break, destroy (ta, ‘from’, + ur4,, ‘to shear, reap’; cf., dar and nam…tar) adj., deliberate, judicious (A.Halloran, 1999, p. 45) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : Tar = couper, décider, déterminer, se renseigner, fumer, casser, détruire (ta, « de » + ur4, « tondre, récolter » ; voir dar et nam…tar). adj., délibéré, judicieux.
[21] Volume 4 Lexique sumérien / Les équivalences de consonne : Les lettres
« d » et « t » sont parfois équivalentes. Nous en avons un exemple avec le logogramme « dú » qui est un strict équivalent de « tu » :
tud, tu, dú = to bear, give birth to; to beget; to be born; to make, fashion, create; to be reborn, transformed, changed (to approach and meet + to go out) (A.Halloran, 1999, p. 24) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français = dú = tud = tud, tu, dú = porter, donner naissance à ; engendrer ; être né ; faire, façonner, créer ; être né de nouveau, transformé, changé (approcher et rencontrer + sortir).
[22] L’équivalence d / t est constatable en égyptien avec par exemple :
Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français : At un agresseur (Faulkner, réed.2017, p. 8) variation de Adw un agresseur / (Faulkner, réed.2017, p. 8)
[23] duraĥ, dàra, dàr : bouc, cerf, daim, chevreuil des montagnes ; bouquetin (dur, « lien » + áĥi « bras »)
[24] dára, dár : ceinture, chassis (comparer avec dur, « lien »). Verbes : attacher, emballer.
[25] dar : francolin, faisan. Verbe : trancher, couper ; briser, casser, anéantir (da, “coté” + ur4, « tondre, récolter »).
[26]The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu) lettre r p.37
[27] Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français : rT ou rmT rt ou rmt Tt tm homme; hommes, genre humain; les Égyptiens (Faulkner, réed.2017, p. 186) ; rmTt hommes, genre humain ; aussi rTt, rtmt (Faulkner, réed.2017, p. 186)
BIBLIOGRAPHIE
Proto-sumérien :
CNIL. Full list of proto-cuneiform signs
& Falkenstein, A. (1936). Archaische Texte aus Uruk. https://www.cdli.ox.ac.uk/wiki/doku.php?id=late_uruk_period :
Sumérien :
A.Halloran, J. [1999]. Lexique Sumérien 3.0.
Héroglyphique :
Faulkner. [réed.2017]. Concise dictionary of Middle Egyptian.
Hiero (hierogl.ch) (Hiero – Pierre Besson)
Démotique :
Hittite hiéroglyphique :
Mnamon / Antiche scritture del Mediterraneo Guida critica alle risorse elettroniche / Luvio geroglifico – 1300 a.C. (ca.) – 600 a.C.
https://mnamon.sns.it/index.php?page=Scrittura&id=46
https://www.hethport.uni-wuerzburg.de/luwglyph/Signlist_2012.pdf
Archéologie :
Leroi-Gourhan, A. (1958). Le symbolisme des grands signes dans l’art pariétal paléolithique. Bulletin de la Société préhistorique française Année 55-7-8 pp. 384-398.
G.& S Sauvet et André Wlodarczyk (1977) : Essai de sémiologie préhistorique (pour une théorie des premiers signes de l’homme). Bulletin de la société préhistorique française / année 1977 / E&T 47-2 / p.545-558
Science des Symboles :
Chevalier-Gheebrant [2005]. Dictionnaire des Symboles. Paris: Robert Laffont.
Les mythologies :
Guirand, J. [1996]. Mythes et Mythologie. Paris ; Larousse
Lien entre le chaldéen et la religion catholique :
A.Hislop. [s.d.]. Les deux Babylones.
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