Pourquoi parler de langage des cavernes pour les figures animales associées à des signes rupestres ?
N’a-t-on donc pas appris que le langage est né à Sumer ?
Qu’entend-on par les signes rupestres ? Quel est le corpus de tous ces signes ? Par quels archéologues de renom ont-ils été répertoriés et catégorisés ? Combien y a-t-il de catégories de signes ? À quoi ressemblent-ils ? Pourquoi le couple d’archéologues Sauvet et le professeur Wlodarczyk ont-ils conclu en les analysant qu’ils avaient toutes les caractéristiques d’un système sémiologique, c’est-à-dire d’un langage ? Quelles sont les règles de composition et de syntaxe qu’ils ont observées ? Comment en sont-ils arrivés à conclure que « tous les signes du Paléolithique supérieur occidental, échelonnés sur 20 000 ans et répartis sur des millions de kilomètres carrés, appartiennent à un même système de pensée », ce qui atteste « d’une étonnante communauté de pensée » même si bien sûr l’on observe des « particularités régionales » et une « évolution stylistique ».
Pourquoi ont-ils ensuite fait l’analogie avec les langues idéographiques ?
Pourquoi ont-ils rejeté cette hypothèse en la qualifiant d’impasse ?
En quoi ont-ils commis une grave erreur en faisant cela ?
En quoi, d’entre toutes les langues idéographiques connues, la plus ancienne, la langue idéographique protosumérienne ou protocunéiforme est en tous points semblable au système sémiologique préhistorique ?
Quel est le corpus des signes de cette langue ? Quelles sont les règles de composition et de syntaxe de cette langue ? En quoi la comparaison d’avec le système rupestre nous permet-elle d’affirmer leur parfaite correspondance ?
En quoi le protosumérien et le hiéroglyphique égyptien sont-ils proches ?
Comment nous permettent-ils, concrètement, de déchiffrer des fresques rupestres ? Comme celles du premier taureau de la licorne de Lascaux ? Du poisson de la grotte de Pindal ? Du deuxième cheval chinois, du cerf noir, du grand taureau noir de Lascaux ?
Avec quel extraordinaire résultat ?
Qu’est-ce que cela nous révèle des raisons pour lesquelles les hommes préhistoriques se rendaient dans les cavernes ? Pourquoi cela permet-il d’affirmer qu’ils les considéreraient comme des sanctuaires où ils y adoraient leur grande divinité ?
Quel était le nom, les noms de cette grande divinité ? Pourquoi l’adoraient-ils sous différentes formes animales ?
Quel lien étroit cela a-t-il avec le récit de la Genèse biblique de la création de l’homme primordial ?
Quel lien étroit y-a t-il entre cette mythologie, cette religion de la Préhistoire d’avec celle de l’Histoire naissante ? Pourquoi peut-on dire qu’elles ne font qu’une ? Pourquoi peut-on aller jusqu’à affirmer que les premiers centres névralgiques religieux de l’époque historique de Sumer et de l’Égypte, c’est-à-dire Kish, et Gizeh, portent le nom de cette grande divinité préhistorique ? Avec quels symboles ?
Venez plonger avec moi dans les 624 pages de ce livre évènement qui, pour la première fois de l’histoire, délivre l’une des plus grandes révélations sacrées, en déchiffrant, d’entre toutes les langues indéchiffrées, le plus mystérieux et le plus inaccessible : celui de nos ancêtres préhistoriques.
D’autant qu’au-delà de la seule révélation et du décryptage de leur système d’écriture, il nous permet surtout d’accéder à la lecture de leur pensée, de leur croyance, de leur mythologie, de voir non seulement à quel point elle a innervé celle du monde de l’époque historique, mais aussi de lire leur savoir sur l’origine de l’humanité.
Ce livre, extrêmement documenté et précis, est le premier du volume 2 qui est un volume exclusivement consacré à l’analyse à la langue et à la mythologie de la préhistoire.
Sans nul doute, ses révélations surprenantes interpelleront tant la communauté des croyants que celle des personnes athées ou agnostiques.
Il est le point de départ de l’explication détaillée que va délivrer le grand volume 2 de l’intégralité du système des croyances sacrées de la religion mythologique préhistorique et antique.
C’est à ce déchiffrage à la portée absolument considérable, aux confluences de l’histoire, de la science et de la religion auquel je vous invite.
Avec lui, c’est toute la page scientiste tronquée de la préhistoire qui se tourne définitivement pour laisser la place à une nouvelle page, absolument extraordinaire, de l’histoire de la religion et de notre humanité, qui s’ouvre…