UNE ILLUMINATI : LA CHANTEUSE SANTA

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Cet article est tiré de mon livre sur le symbolisme de la main (rupestre à la main de Fatma) qui décrypte ce symbole archaïque et explique pourquoi la main est une représentation de la déesse mère en position accroupie et ce que cela signifie.

Ce livre explique aussi pour le symbole de la main est profondément intriqué avec les symboles suivants : l’Ankh, le triangle, le soleil dans la lune, l’œil de la providence (des déistes, francs-maçons, et Illuminati), le nœud Tyet, la croix, la chouette, l’équerre et le triangle (franc-maçon).

Dans cet extrait vous découvrirez l’étymologie de « Illuminati », un culte à mystères qui recourt notamment à la symbolique de l’œil de la providence, avec un exemple bien français : celui de la chanteuse Santa, connue pour sa chanson « Pop corn salé ».

OBJECTIF DE CET ARTICLE

Je suis souvent littéralement atterré de constater la naïveté des journalistes et des critiques contempteurs du monde sacré de la présence, pardon, de l’omniprésence en nos sociétés, dans toutes les strates et champs de pouvoir, de personnes qui se revendiquent pourtant ouvertement de faire partie du « côté obscur de la force » pour ne pas employer le terme de supporter du grand dieu caché de ce monde.

Ouvertement car il ne faut vraiment pas sortir de Saint Cyr, ou plutôt, inversement, il faut vraiment être totalement inculte dans les sciences sacrées et sa symbologie pour oser prétendre que ces faits ne sont pas avérés.

En gros, j’ai l’impression que dans ce domaine nous en sommes encore au temps de la négation des climato-sceptiques quant aux causes du réchauffement… C’est dire le travail qui me/nous reste à faire pour tenter de faire tomber les écailles des yeux qui oblitèrent et obèrent leur bon jugement.

Je vais donc m’efforcer d’illustrer leur présence avec le cas très parlant de la chanteuse Santa et de la symbolique sacrée à laquelle elle a eu recourt, comme tant d’autres avec elles, pour obtenir la gloire, même si bien éphémère, que le dieu des ténèbres confère, depuis la nuit des temps, à ses suiveurs.

Une fois que vous aurez lu l’article, et pour comprendre pleinement tout ce qui y est dit, je vous chaleureusement à lire les deux chapitres constitutifs du livre dont il est tiré : 

LE CULTE DE LA DÉESSE-MÈRE ET LA RAISON DE SA REPRÉSENTATION EN POSITION ACCROUPIE

DE LA MAIN DE FATMA À LA MAIN RUPESTRE PRÉHISTORIQUE, LA SIGNIFICATION CACHÉE DU SYMBOLE DE LA MAIN : LA MÈRE PRIMORDIALE DIVINISÉE EN RÉGÉNÉRATRICE DES MORTS

Vous pouvez aussi bien sûr acheter le livre entier en version numérique ou PDF au lien suivant : 

LIVRES DÉJÀ PARUS

Même si tout cela est, au fond, bien triste, je vous souhaite par avance une excellente lecture.

Yvar 

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Table des matières

L’ASSOCIATION ENTRE LE SIGNE TRIANGULAIRE DE TANIT ET DE L’« ŒIL DE LA PROVIDENCE », L’ŒIL DANS LA PYRAMIDE DES DÉISTES CHRÉTIENS, FRANCS MAÇONS ET ILLUMINATI

 

Comme vous le comprenez facilement, à partir du moment où la symbolique du triangle est comprise ainsi que celle de l’œil, il devient aisé de comprendre le véritable sens à donner à l’œil de la providence.

Voici ce que nous lisons communément à son sujet :

L’œil de la Providence ou l’« œil omniscient » est un symbole montrant un œil entouré par des rayons de lumière et habituellement dans la forme d’un triangle. Il est généralement interprété comme la représentation de l’œil de Dieu exerçant sa surveillance sur l’Humanité. Son symbole est repris par plusieurs religions et sociétés philosophiques.

On le retrouve :

 

Dans l’iconographie chrétienne :

 

Œil de la providence chrétien de la Cathédrale d’Aix-la-Chapelle (XVe siècle).

Dans l’iconographie chrétienne plus récente (libérée de l’aniconisme), l’œil divin apparaît souvent dans le ciel, entouré de nuées qu’il dissipe : il rayonne de lumière, symbole de vérité et de connaissance. Le Dieu chrétien est omniscient, mais aussi omniprésent et omnipotent. Voir, savoir et agir sont ses attributs étroitement reliés entre eux. Cet œil peut aussi être inscrit dans un triangle, symbole de la Trinité divine[143].

S’il est vrai que le triangle est un symbole trinitaire, ce n’est assurément pas son seul et unique sens, comme cela est démontré de manière exhaustive dans l’analyse du triangle…

Gardons simplement présent pour la bonne compréhension de cet article qu’il représente notamment la matrice de la déesse-mère.

 

Dans la franc-maçonnerie :

 

Voici ce que l’on peut lire à son sujet en rapport avec la franc-maçonnerie :

L’Œil de la Providence est aussi repris dans l’iconographie de la franc-maçonnerie, au centre d’un triangle équilatéral rayonnant parfois appelé « delta lumineux ». Il est là aussi un symbole divin, emprunté au christianisme, mais désigne soit, dans une logique déiste, le « Grand Horloger » divin, soit de manière plus métaphorique l’idéal de connaissance de la vérité[144].

Ce symbole, très populaire au XVIIIe siècle dans le mouvement des Lumières, est repris sur divers supports et peut avoir des significations plus ou moins différentes. Il est par exemple visible dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789.

Je trouve alors très intéressantes les remarques suivantes faites sur un site franc-maçonnique[145] [146] :

Si la pratique d’une doctrine occulte orientale fait partie de l’enseignement maçonnique, le secret forcé auquel la franc-maçonnerie a été contrainte en Europe serait compréhensible. En raison de la puissance et de la brutalité de l’Inquisition, ainsi que de son objectif déclaré de détruire les hérétiques, les francs-maçons ont été contraints de se cacher, afin de préserver leurs traditions, leurs connaissances et leurs rites sur le troisième œil.

Cette doctrine occulte est un « enseignement » très ancien, un « secret » que les ésotéristes ont jalousement gardé au fil des millénaires : L’objet premier et principal de notre Ordre, le fondement sur lequel il repose.

Dans les temps modernes, des auteurs, peintres et poètes célèbres l’ont décrit comme le « secret perdu » de la franc-maçonnerie.

L’auteur Grace Morey, dans le livre « Mystic Americanism » écrit : L’œil qui voit tout… emblème de la glande pinéale ou troisième œil de l’être humain… a été retrouvé parmi les ruines de toutes les civilisations de la planète, témoignant de l’existence d’une religion universelle, à une époque lointaine.

Albert Pike, dans « Legend and Readings of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry » note :

C’est dans ses symboles anciens et leur signification occulte que consistent les véritables secrets de la Franc-Maçonnerie. Mais ceux-ci n’ont aucune valeur si l’on ne voit rien dans les symboles de la loge, au-delà des interprétations banales. Les gens ont ignoré la vérité, à savoir que les symboles de l’Antiquité n’étaient pas utilisés pour révéler, mais pour « cacher ».

Chaque symbole est une énigme à résoudre et non une leçon à apprendre. Comment le franc-maçon intelligent peut-il ne pas voir que les diplômes ne sont que préparatoires, pour enrôler et rassembler les rangs et les armements de l’armée maçonnique à des fins qui ne leur sont pas révélées, qui sont les moindres mystères dans lesquels les symboles sont utilisés pour cacher la vérité ?

Que savent les francs-maçons modernes de l’Œil qui voit tout ?

Si autrefois elle était symbole de providence divine, de vérité spirituelle et d’éveil, aujourd’hui que la franc-maçonnerie perd sa précieuse symbolique, elle est souvent mal interprétée voire pas vraiment « considérée ».

L’homme contemporain n’a plus de mythes et de traditions, il a perdu les idées religieuses, et même les symbologies initiatiques sont désormais l’apanage de quelques-uns. Il a remplacé tout cela par ce que lui offrent les médias de masse. Il n’est plus capable de saisir et de comprendre les contenus inconscients[147].

Tout au long de l’histoire, dans divers continents et dans différentes cultures, il a été beaucoup utilisé pour indiquer une force créatrice et bienveillante, qui regarde au-delà, aidant et protégeant l’humanité et représentant la part spirituelle qui est à l’intérieur de chacun de nous.

Ainsi, même si ce symbolisme nous est encore et toujours indiqué ici par les cercles maçonniques comme renvoyant tout à la fois à l’illumination du grand architecte gadlu comme à l’illumination intérieur en chaque être dont il serait une émanation, il n’est pas non plus fait mystère que ce symbole relève d’une mystique occulte orientale très ancienne, appartenant à une religion originelle qui cachait par là une mystérieuse mystique très ancienne.

Mystique que cet article dévoile aujourd’hui en majeure partie.

 

L’œil de la providence aux États-Unis

 

L’« Œil de la Providence » flottant au-dessus d’une pyramide inachevée, au revers du grand sceau des États-Unis d’Amérique.

Concernant l’usage de l’œil de la providence aux États-Unis voici que l’on peut lire :

L’Œil de la Providence le plus connu est sûrement celui qui figure au verso du billet américain de un dollar, qui n’est en réalité que la reproduction du grand sceau des États-Unis d’Amérique. La présence de ce symbole sur le sceau officiel est bien le signe des influences de la franc-maçonnerie sur l’Histoire américaine, qui fut importante au xviiie siècle lors de la révolution (George Washington, Benjamin Franklin…) puis fluctua jusqu’au début du xxe siècle (Theodore Roosevelt). Le dernier président américain franc-maçon fut Gerald Ford (1974-1977).

L’utilisation de l’Œil dans la franc-maçonnerie n’incorpore pas de pyramide, bien qu’il soit souvent représenté dans un triangle : il s’agit d’une spécificité du dessin des billets américains. Parmi les trois membres du comité qui créa le dessin original du Grand Sceau, seul Benjamin Franklin était franc-maçon. Thomas Jefferson soutenait ouvertement les idées de la franc-maçonnerie, assistait à certaines réunions ouvertes aux non-initiés et était proche de certains francs-maçons, mais rien ne prouve qu’il eût été lui-même membre.

Le dessin original du Billet de 1 dollar américain de 1935 fut approuvé par le président de l’époque, Franklin D. Roosevelt, qui demanda des modifications. Avec sa signature d’accord, Roosevelt, qui était franc-maçon, inclut un petit croquis qui inversait la présentation du Grand Sceau de façon que le verso du sceau (la face qui inclut l’Œil de la Providence au sommet d’une pyramide) apparaisse à gauche et le recto à droite. Il fit également ajouter les mots « The Great Seal » (Le Grand Sceau) sous l’Œil de la Providence, et « of the United States » (des États-Unis) sous le dessin de l’aigle à tête blanche du recto du Sceau. Le Secrétaire à l’Agriculture des États-Unis Henry A. Wallace et le Secrétaire du Trésor Henry Morgenthau Jr., tous deux francs-maçons, furent également impliqués dans le changement du design du billet de 1935. Henry A. Wallace était persuadé que les États-Unis avaient été choisis pour établir un futur « Nouvel ordre des âges ». Dans ces déclarations de l’époque figurent plusieurs discours empreints d’une dévotion religieuse aux accents prophétiques[148]. Les déistes francs-maçons rejetaient l’idée de la chute qui porte avec elle la nécessité d’une rédemption ou d’une révélation spéciale de Dieu. Pour eux, l’idée de Dieu était innée dans l’esprit humain depuis ses origines, de telle sorte que par l’usage de son intelligence, l’homme peut arriver à la reconnaissance de l’existence de Dieu. Dans le billet d’un dollar, les pères fondateurs de la nation ont inscrit symboliquement leur vision du monde et leur mythe fondateur[149].

 Nous voyons ainsi parfaitement combien cette représentation de la déesse-mère sous le triangle qui a notamment pour objet le renaissance des morts par leur autosacrifice s’harmonise parfaitement avec le sous-jacent doctrinal franc-maçonnique consistant à dire qu’en Eden il n’y a eu ni péché, ni donc nécessité d’une rédemption (par un futur sauveur venant donner sa vie en sacrifice de substitution), mais que tout le monde, le couple humain primordial comme leurs enfants sont leur propre christ et peuvent parvenir à la divinité par l’illumination intérieure et leur autosacrifice ou sacrifice d’ego.

Il est parfaitement naturel, même si la dimension et le pouvoir de régénération accordée à la matrice de la déesse-mère a été perdu dans cette explication, que ce symbole soit l’un sinon leur symbole majeur.

 

L’œil de la providence des illuminati

 

Le cas des illuminati, une confrérie s’inscrivant tous comme les francs-maçons dans la longue ligné historiques des cultes à mystères, illustre parfaitement ce lien étroit qui les relie tous à la religion mythologique préhistorique originelle.

Puisque ces derniers défraient régulièrement la chronique médiatique, il m’apparaît utile de préciser ici deux choses à leur égard :

La première est que ce signe de la providence est aussi, comme pour la franc-maçonnerie, un de leurs symboles favoris.

La deuxième c’est que leur nom n’a pas été choisi par hasard, puisque c’est juste du pur sumérien sacré (au cas où vous ne l’auriez pas déjà remarqué, avec les différents logogrammes sumériens et hiéroglyphiques analysés dans ce livre ou les autres livres auxquels vous avez eu accès).

« Voyons » cela ! en deux temps :

 

Le recours au symbole de l’œil de la providence  

 

Je n’ai pas envie ici d’énumérer la très longue liste de membres de la politique, de la finance, de la religion, des médias et du show-biz[150] qui manifestent de façon par ailleurs très ostentatoire leur appartenance à cette mouvance (voire, donc, à la franc-maçonnerie) en faisant notamment (et pas que) le signe du triangle et de l’œil.

D’aucuns, bien sûr, contesteront cet état de fait, taxeront cela de complotisme ou d’erreur d’interprétation visuelle, mais les preuves photographiques et scénographiques sont tellement nombreuses qu’il faut être parfaitement aveugle et/ou irrationnel pour ne pas le voir.

Une simple recherche google suffit pour le constater, d’autant plus si l’analyse est poussée.

Il n’est donc nul besoin que je le fasse ici.

Je n’entrerai pas ici non plus dans le débat si oui ou non, les illuminati contrôlent le monde ou pas.

Au fond, entre vous et moi, on s’en contrefout, car quels que soient les humains qui aujourd’hui dominent effectivement le monde, directement ou indirectement, ils ne restent qu’une vapeur, une fumée[151] et ne feront que passer avec ce vieux monde[152] dégénéré : les noms de leurs symboles et leurs noms seront oubliés[153] effacés.

Si l’on se limite aux faits, il est simplement juste factuel que de nombreuses personnalités recourent à ce signe.

Il est alors important de comprendre que le recours à cette symbolique ne se fait pas par hasard.

Elle marque l’appartenance à un groupe, à une communauté de croyants.

Certes.

Mais pas seulement.

De manière beaucoup plus grave pour celles et ceux qui l’effectuent, elle marque surtout leur invocation des divinités que cet œil de la providence représente et plus exactement, de la grande divinité cachée qui est, comme nous le verrons déjà un peu plus loin dans ce livre et de manière exhaustive dans les suivants, celui qui a insufflé, inspiré, entre autres, cette représentation symbolique puisque c’est lui qui les a divinisés.

Toutes ces personnes y recourent donc sciemment, qu’elles soient parfaitement conscientes ou peu conscientes ce que cela signifie.

Peut-être certaines, en de rares cas, le font simplement par jeu.

Mais la plupart le font délibérément et en connaissance de cause (même si avec une connaissance imparfaite ou partielle).

Le principe étant simple : elles partent du principe qu’en se plaçant sous la protection de ce symbole et de la grande divinité qu’elle cache et qui dirige ce monde[154] [155], elles en retireront dans ce monde (même si que pour un peu de temps[156]) argent, gloire et pouvoir.

Elles veulent devenir, exactement comme cela a été promis au premier couple primordial par l’adversaire de Dieu, des « stars », des étoiles, étoile qui a toujours été depuis la nuit des temps la représentation symbolique de la transformation de l’être en une divinité.

Ces personnes sont prêtes à tout pour voir leurs noms inscrits au milieu de l’étoile de leur « Hall of Fame » respectif, leur temple de la renommée, comme si cela allait leur procurer l’immortalité…

Remarquez d’ailleurs que l’emblème des stars du Hall of Fame de Hollywood boulevard sont des étoiles de ce type[157] :

« Leurs empreintes de pieds ou de mains sont aussi prises dans des dalles d’argile » comme celles devant le chinese théâtre dont la plus connue est celle de Marylin Monroe :

« À Tokyo (Japon), aux abords du TOHO Cinemas Chanter (quartier de Hibiya), plusieurs dizaines de plaques métalliques incrustées au sol donnent à voir les moulages de mains en relief de diverses vedettes, japonaises et étrangères ».

 Nous aurons l’occasion de constater plus avant, lors de l’analyse de la main, que cette symbolique associée de l’étoile et de la main pour représenter l’atteinte de l’immortalité de la divinité, remonte aux temples de la mythologie préhistorique.

Encore aujourd’hui, ces deux symboles sont aussi associés au triangle de la providence.

Voici la pochette du disque « Hall of Fame » une chanson du groupe pop rock irlandais The Script avec le rappeur américain Will.i.am des Black Eyed Peas … [158] [159].

Vous remarquez que le chanteur fait le signe de l’œil de la providence avec ses deux mains positionnées en triangle.

Il faut ainsi comprendre que cette symbologie publique a un sens profond.

Elle est assimilable un véritable baptême païen.

Car au fond, de la même manière que le baptême chrétien originel est conçu comme étant une manifestation extérieure et publique, pour le croyant, du choix de se vouer à Dieu qu’il a effectué seul dans la prière, dans son for intérieur et le secret de son intimité, cette manifestation extérieure effectuée par chacune de ses personnes s’apparente aussi à un véritable baptême païen, puisqu’ils marquent par cette gestuelle symbolique publiquement le choix qu’elles ont personnellement effectué dans le secret de leur cœur de se placer sous la coupe et la tutelle de son adversaire.

D’ailleurs, il faut bien admettre que, sans parler de franc-maçonnerie ou d’illuminati, de nombreuses « stars » et personnes politiques ne cachent même plus leur recours à la sorcellerie, car, au fond, et comme nous le comprendrons pleinement à la lecture de cet article, c’est au final de l’invocation du pouvoir d’adversaire de Dieu dont il est question ici, puisque c’est lui qui comme nous le verrons donc d’ailleurs un peu dans ce livre, est à l’origine de l’enseignement mythologique préhistorique et de ses symboles sacrés universels et intemporels dont l’œil de la providence.

Même si, comme nous le verrons exhaustivement, il est passé maître dans l’art de rester dans l’ombre en tant que dieu caché.

 

Le dernier exemple en date : la chanteuse Santa

 

J’aimerai vous illustrer cet état de fait par un exemple qui s’est imposé à moi au moment où je rédigeais cet article.

Voici ce que l’on trouvait en effet dans le journal Le monde du 25 février[160] :

Image le Monde

C’est la photo d’une jeune chanteuse française qui fait un carton ces derniers temps[161] avec sa toute première chanson « pop corn salé » et sur laquelle le journal faisait un article.

Remarquez, s’il vous plaît, le positionnement très précis qu’elle adopte pour la séance photo de l’interview :

Elle se place dans l’axe du luminaire en forme d’œil juste au-dessus de sa tête.

Elle est parfaitement droite pour ne pas dire rigide et fixe l’appareil. Ses bras et ses mains sont strictement parallèles.

Sa tenue est noire sur fond noir de manière à ce que ses deux mains soient tout particulièrement en évidence.

Ses mains sont strictement parallèles et forme à plat, chacune, de chaque côté, un triangle, exactement comme notre chanteur de Hall of Fame…

Est-ce là le fruit d’un hasard aveugle ?

L’article répond de lui-même puisqu’il nous dit qu’avant de pouvoir commencer l’interview, l’adresse a changé trois fois ! L’article poursuit en disant que s’est ensuivi une séance photo où Santa était à la fois « modèle et directrice artistique du moment, contrôlant chaque prise de vue » (!)

Elle a donc repéré les lieux et visiblement choisi cet endroit précis ainsi que sa tenue pour une raison particulière.

De plus, il nous est dit que cet interview se passe au moment de l’apéro du groupe décrit comme une bande de joyeux drilles (« un barda de concert, des musiciens, une attachée de presse, une manageuse dégustent une flopée de spritz et de gros paquets de pop-corn… ») et dont l’attitude détonne dans le cadre ambiant feutré de ce bar d’hôtel.

Je ne pense pas que cette posture physique adoptée par cette chanteuse est celle que vous et moi prenions naturellement lorsque nous sommes détendus à l’heure de l’apéro avec des potes…

De toute évidence, même si, autour d’elle, l’ambiance était festive, elle s’est évertuée pour cette prise de photo à tout contrôler elle-même, tant le cadre contextuel que son strict positionnement physique, afin de se représenter d’une manière très précise, représentation parfaitement scénarisée qui renvoie à toute la symbolique de l’œil de la providence.

Dans une attitude qui parlera aux initiés, mais sans doute pas au journaliste, ni au photographe ni même au lecteur lambda qui s’étonnera juste peut être d’une attitude un peu raide, un peu guindée pour une jeune chanteuse censée être, participer à un moment festif avec son groupe.

Ce n’est malheureusement là qu’un exemple parmi tant d’autres de personnes qui, en quête de gloire, se baptisent publiquement devant les yeux avertis…

Dans un tel contexte en parfaite opposition avec l’enseignement divin originel, son nom, Santa, prend aussi tout son sens.

Vous pourriez penser que Santa veut simplement dire sainte.

Ce serait gentil de votre part.

Sauf que tout le contexte ici indique plutôt clairement que ce n’est pas vraiment la sainteté chrétienne qu’elle revendique.

J’aurais d’ailleurs, à cet égard, l’occasion de démontrer que le culte des saints n’a rien de chrétien et que le terme de saint appliqué à un humain, relève pleinement du paganisme.

Disons simplement ici, et pour ce cas d’espèce, que Santa est l’anagramme de Satan[162].

Pas seulement, c’est aussi son nom égyptien.

Car Satan signifie opposant, et on le retrouve aussi sous la forme SnT (SanTa) en hiéroglyphique, qui est un terme qui désigne quelqu’un qui insulte Dieu, un opposant, un ennemi[163].

Il est aussi tout à faire remarquable que le nom choisi de ce groupe soit hyphen hyphen, une pure translittération du hiéroglyphique hy un cri de salutation et de louanges empreint de jubilation qui, lorsque redoublé (comme c’est le cas dans ce nom de groupe) est une acclamation[164].

Une acclamation à qui ? à Hf [165]/ fn le serpent[166]

Dans quel but ? fnfn [167] être récompensé de sa part, percevoir un salaire…

Nous l’avons compris, le salaire de la gloire,

Une ridicule, pitoyable, bien temporaire et bien illusoire gloire terrestre, mais bon, une gloire…

A quel terrible prix…

Bien sûr, on vous dira que ce mot anglais « hyphen » signifie trait d’union, mais bon…

Trait d’union entre qui et qui (au pluriel) ? Entre quelle époque et quelle époque ai-je envie de dire…

Quant aux noms choisis par la triade de chanteurs qui composent ce groupe, nous avons 3 noms : Santa, Adam… et… Line.

Après ce qui sera dit plus avant sur le sens de « li » je pense que cela se passera de commentaires quant à savoir de quelle trinité de personnages ancestraux ce trio se recommande.

Bref je ne vais pas m’étendre sur cet exemple qui n’est qu’un parmi mille, devrais-je dire, dix mille ou cent mille ou plus, bien plus…

Je l’ai trouvé utile pour illustrer mon propos, mais n’y perdons pas trop de temps.

 

Autres exemples à la volée

 

Cette jeune chanteuse ne fait en effet que s’inscrire dans la lignée de ses prédécesseurs.

Ils sont tellement nombreux et évidents qu’il faudrait un dictionnaire pour les répertorier.

Elle s’inscrit dans la foulée des Madonna, Rihanna, Lady gaga dont toute la scénologie, la posture, l’ornementation de la scène et les vidéos qu’elles produisent suintent la même religion.

Les usuels traditionnels sceptiques français hyper-rationalistes au point d’en perdre toute raison et de ne même plus voir l’évidence n’ont qu’à lire, les paroles de la chanson « veau d’or vaudou » de Johny Hallyday, de la chanson « viens je t’emmène » de Lacrim, de la chanson « l’autoroute de la vie » de l’Algerino, etc. [167B].

Si les symboles ne leur parlent pas, aveugles et sourds qu’ils demeurent, la lecture de leur contenu sera plus qu’explicite.

Si cela ne devait suffire, je ne pourrais après, personnellement en tous cas, plus rien pour eux pour les aider à comprendre.

Mais parler de tout ce petit monde en détail n’est ni le sujet ici ni très intéressant en soi.

Ce ne sont que de, somme toute, bien tristes exemples illustrant le fait que les temps n’ont assurément pas changé, tant notre société soi-disant « moderne » est en réalité totalement imprégné de la même mystique la plus ancestrale, celle de se recommander du premier couple humain primordial et de leur mentor originel dans la même volonté manifeste de s’assurer dans le monde qu’il dirige encore gloire, argent, pouvoir.

Je tiens à préciser qu’en disant cela, je ne me fais juge de personne.

Je ne fais que constater le choix manifeste qu’ils ont effectué à un moment de leur vie, d’autant que ce choix est rendu public et d’attirer votre attention sur la manière avec laquelle ils le mettent en évidence tout aussi publiquement.

Je vous renvoie à mes propos en conclusion où je fais état de la situation spirituelle de ces personnes, situation sur laquelle il n’appartiendra en fin de compte qu’à Dieu de les juger individuellement.

Voyons plutôt maintenant s’il vous plaît de manière plus globale le sens profond de ce nom illuminati , des raisons profondes pour laquelle il a été choisi, des divinités qu’il convoque pour tous ses membres qui l’adoptent.

 

Étymologie de illuminati

 

Au sujet de leur nom, vous lirez par exemple l’étymologie superficielle suivante : Illuminati : littéralement « les Illuminés » (du latin illuminare : « illuminer, connaître, savoir »)[168].

du lat. illuminare, de il pour in, dans, et lumen, lumière[169].

Mais il faut encore et toujours bien comprendre que, dans le domaine du sacré, le sumérien a innervé nombre de mots tant grecs que latin.

Ainsi, lumen, la lumière, provient du sumérien par « lu » l’homme, l’humain, « men » le personnage le père élevé au ciel, le lumineux (Tán et man = men) qui sera déifié sous l’étoile, le soleil[170]

C’est là le sens profond et sacré de lumen qui a innervé le latin.

Il nous faut alors comprendre que si illuminati a pour premier sens superficiel « les illuminés, les éclairés », c’est un mot qui porte tout son profond double sens en sumérien, langue que, certainement, connaissent les membres de sa plus haute prêtrise.

Voyons précisément ce qu’il signifie :

Décomposons-le comme, vous l’avez sans doute un peu remarqué, j’ai l’habitude de faire pour mieux comprendre et en saisir toutes les nuances :

 

Illu-mina-ti

 

íllu ou illu

 

Pour íllu ou illu, revoici l’explication fournie au symbolisme de la déesse-mère accroupie quant à l’étymologie de íli, a la racine du nom de la déesse grecque des naissances Illythie.

LE CULTE DE LA DÉESSE-MÈRE ET LA RAISON DE SA REPRÉSENTATION EN POSITION ACCROUPIE

 

Nous y avons notamment vu les informations suivantes :

 

illu

 

íl-lá[171] signifie une élévation et dans sa forme verbale íla, íli, íl[172] le fait de lever, porter, livrer, amener, endurer, supporter, « … » ; être élevé ; briller ; lal, lá (la2)[173] signifie être élevé ; tenir, élever, porter, suspendre

Par íli, il n’est pas seulement question de porter dans le sens de concevoir en tant que génitrice, mais aussi de porter, d’élever (porter aux nues en quelque sorte) dans le sens de déifier !

Ces différents logogrammes sumériens (íl-lá ; forme verbale íla, íli, íl ; lal, lá [la2]) sont reconnus comme étant à l’origine des noms des dieux « Īl » et « Ēl » et qu’ils sont la racine constitutive du mot sumérien ĪLU qui a entre autres sens, celui de « dieu » [174].

Ainsi, de manière consonantique, íl ou íllu ou él désigne le grand dieu sumérien (le dieu El)

Après quoi cet examen permettait de comprendre que par ce logogramme íli et par ses logogrammes équivalents, il est bel et bien question, d’une part, que la déesse-mère ne fait pas que porter un enfant, mais que ce sens de porter, élever a aussi le sens de déifier, et d’autre part, que la personne ayant fait l’objet de cette déification a été en premier lieu le père primordial, l’ancêtre de l’humanité. Quant à l’identité de la déesse-mère primordiale, elle y était révélée par le recours au logogramme « ti » attestant qu’il s’agit d’Eve.

Je vous invite donc à relire le détail de cette explication.

Notez aussi que illu est l’eau élevé, le déluge, le liquide amniotique[175].

Or, nous savons que l’eau comme le déluge sont des mots synonymes de a le père[176].

Il est donc toujours question par illu comme par íllu du père primordial élevé.

En rapport avec le sens superficiel donné à illuminati qui est « illuminer, éclairer », nous comprenons bien que l’illumination n’a pas pour autre but que d’élever l’âme de l’illuminé qui s’harmonise évidemment parfaitement avec le sens sumérien de íllu ou illu.

 

mana, mìna, man, mìn, men5

 

mìna comme mana, mìna, man, mìn, men5 désigne un partenaire, un compagnon[177].

men est, par son idéogramme Tán, ta « le personnage » an[178] qui n’est pas seulement le ciel comme indiqué en note, mais aussi et surtout le « père élevé », déifié sous le nom même du père des dieu sumérien, le dieu An ou Anu.

De plus, Tán et men ont le sens de quelqu’un de « clair, lumineux, libre » ce qui renvoie à l’homme primordial tant dans son état de création initial que dans son état régénéré et déifié (suivant la religion mythologique).

 

ti

 

Je vous fais l’offense, pardonnez-moi, de vous redonner les sens de ti qui est l’un des noms emblématiques de Eve.

  • ti, te, de: la côte, le côté (la conjointe, la compagne), la flèche
  • de4, da, un bras, un côté, une proche, qui garde, protège, entoure, la compagne, la conjointe du père
  • ta(b) personnage, côté, compagnon ou compagne (men)
  • ti, la vie, celle qui donne la vie, la mère de tous les vivants comme Eve sous haya, hava, hawa
  • te, la fondation, le périmètre, l’enceinte sacrée
  • ti, tum, aka (Eve) celle qui fait, agit

Avec ses symboles homonymes associés, le vautour (te : un vautour, Á et á un vautour, un côté, un compagnon, un(e) conjoint(e)) et le mortier (, naña, mortier et enclos, cercle, totalité).

 

Synthèse de illu-mina-ti

 

De sorte que illu-mina-ti désigne :

Le père élevé, porté (au sens d’élevé mais aussi d’être porté comme un enfant dans un liquide amniotique), déifié, qui brille, (íllu ou illu) le partenaire, le compagnon, (mana, mìna, man, mìn, men5) le personnage An, le père élevé, le clair, le lumineux ; Tán, (ta+an) avec pour parèdre Eve sous haya, hava, hawa la vie, celle qui donne la vie, la mère de tous les vivants (ti) comme la côte, le côté (la conjointe, la compagne) la flèche (ti, te, de4) ti) (Eve) celle qui fait, agit (ti, tum, aka).

Et si nous synthétisons encore, disons, plus simplement que illuminati est une véritable prière, invocation mystique, faite au premier couple humain primordial divinisé, et au fait que (malgré leur faute et leur rébellion) Adam le père primordial a été divinisé et élevé au ciel grâce au pouvoir de régénération de renaissance de la matrice de son épouse la mère primordiale devenue déesse-mère.

 

Illu-mi-na-ti

 

Une autre décomposition est possible avec illumi-na-ti au lieu de illumina-ti.

Nous connaissons déjà illu et ti.

Voyons les sens de mi et de na lorsque décomposé et ce que cela nous dit de plus :

 

Mi

 

Nota Bene : Veuillez noter au préalable que je ne vous livre pas ici toutes les références justificatives de cette étymologie sur mi comme j’ai plus haut pour illu et mina ; si vous voulez les consultez, vous les trouverez toutes plus avant dans ce livre dans l’analyse étymologique de la main droite wnmi (égyptien))

mi est l’égal, être comme (mi / eg.) une copie (mit / eg.) égal à, semblable à (mity / eg.) égal, semblable (mitw / eg.) la même chose (mitt / eg.) que le père (it / eg.) le monarque, le souverain (it, iti, ity / eg.)

est la divinité, sa fonction, zone d’autorité du culte, la manifestation du pouvoir de mi la cavité (= úb l’angle, le coin, la cavité) le triangle (idéogramme de sal) de mi (sal) la femme la femelle (sa-al : sa la bonne fortune, la bien formée de al le père élevé) de d’an, a le père n élevé, le père des dieux An, l’âne élevé jusqu’au ciel, (an, aneš)

 

na

 

na désigne un être humain[179], non genré, « celui-ci » ou « celle-là » ; c’est aussi un possessif « son, sa »[180].

na peut aussi, mais c’est plus indirecte et incertain, renvoyer au peuple, à la foule, car un, ùña,[181] signifie le peuple, la population, la foule

Remarquez surtout que na est donné comme un strict équivalent de ni, ce nous renvoie donc à l’analyse étymologique de ni qui a déjà été donnée dans ce livre dans l’analyse de Tanit sous Ti– (a)n-ni-it.

La revoici pour vous éviter de chercher… :

 

ni

 

«  » signifie la puissance[182], le pouvoir, le respect,[183] mais aussi le corps[184], un enfant mort-né ou malformé (ni9 ou nìñin)[185]. Ce mot à travers niñin2 désigne aussi la totalité, un cercle, une enceinte[186].

Nous verrons combien la notion de totalité est toujours attachée à la grande Divinité qu’il s’agisse du père des dieux ou de la déesse-mère puisqu’il domine sur le ciel, la terre et les enfers.

Rappelons aussi ce que nous avons vu dans l’analyse du symbolisme de la déesse-mère accroupie, qu’une enceinte (circulaire) est un synonyme de femme enceinte (!) en hiéroglyphique.

Les sens de « ni » permettent de mieux comprendre pourquoi en sumérien nin désigne une reine, une maîtresse, une femme propriétaire, une dame ; un seigneur. C’est suivant le lexique le redoublement de «  », « peur, respect ; effroi » ; « admiration »[187].

« nin » désigne aussi sans doute la puissance de la reine ou de la dame effrayante (nin) le mère de l’humanité dégénérée telle un enfant mort-né ou malformé (ni).

D’ailleurs nínna désigne un oiseau nocturne, une chouette en étant toujours suivant le lexique la contraction de « nin » « dame effrayante et du “a” suffixe, la chouette prédatrice avec son visage ressemblant à celui d’un humain qui a dû donner naissance au mythe du démon de Lilith[188]

«  » est donc essentiellement le pouvoir impressionnant qu’inspire la grande déesse-mère effrayante, mère de l’humain dégénéré.

Il nous faut ajouter à ces remarques portant sur , nin, le lien entre ces logogrammes et le four :

En effet, un four se dit notamment ninindu ou nindu[189].

Étymologiquement, le four, nindu signifie donc la puissance de la reine ou de la dame effrayante (nin) la mère de l’humanité dégénérée telle un enfant mort-né ou malformé (ni) qui porte, donner naissance, engendre, fait, crée, transforme, change en un être né de nouveau [190]

Ceci s’harmonise parfaitement avec la symbolique du four[191] qui est l’un des symboles de la matrice de la déesse-mère et de son pouvoir de régénération.

En effet, j’aurais l’occasion de le prouver et de le détailler, l’action de brûler, consumer l’âme du défunt était considéré dans la religion mythologique comme l’une des trois étape nécessaires et préalable (outre le battage et le broyage) pour permettre sa régénération.

 

Synthèse de illu-mi-na-ti

 

Décomposé sous cette forme ce mot signifie :

Le père élevé, porté (au sens d’élevé mais aussi d’être porté comme un enfant dans un liquide amniotique), déifié, qui brille, (íllu ou illu ; al, an, aneš) grâce au pouvoir de la matrice (mi la cavité (= úb l’angle, le coin, la cavité) ; le triangle (idéogramme de sal) grâce à la divinité et à la manifestation du pouvoir () de sa femme [ (sal) sa bonne fortune la bien formée [sa-al : sa], son égale, sa copie [mi, mit, mity, mitw, mitt] son, sa [na] humain(e)[na], sur le peuple, la foule [un, ùña] celle qui a la puissance, le pouvoir, le respect [] qui suscite la peur, le respect, l’effroi, l’admiration [] la puissance de la reine ou de la dame effrayante [nin] le mère de l’humanité dégénérée telle un enfant mort-né ou malformé [ni] la chouette (nínna : « nin » « dame effrayante et le “a”) Eve sous haya, hava, hawa la vie, celle qui donne la vie, la mère de tous les vivants [ti] comme la côte, le côté [la conjointe, la compagne] la flèche [ti, te, de4] ti] (Eve) celle qui fait, agit (ti, tum, aka).

Et si nous synthétisons ici encore, disons, que illu-mi-na-ti est et reste une prière, invocation mystique, identique à la première forme illu-mina-ti, puisque adressée au premier couple humain primordial divinisé, et au fait que (malgré leur faute et leur rébellion) Adam le père primordial a été divinisé et élevé au ciel grâce au pouvoir de régénération de renaissance de la matrice de son épouse la mère primordiale devenue déesse mère.

 

Conclusion sur le lien entre le mot illuminati et l’œil de la providence

 

Armés de cette connaissance, vous conviendrez, je l’espère avec moi que ce nom choisi illuminati, parce qu’il est une prière une invocation mystique de nos premiers parents (afin de se placer dans leur filiation spirituelle et sous la protection de leur mentor originel avec tout ce que cela implique comme commémoration symbolique de leurs actions, comme doctrine et comme rite), est juste un choix qui s’harmonise parfaitement avec l’autre choix symbolique que constitue l’œil de la providence, qui est, comme nous l’avons vu, un symbole extrêmement chargé renvoyant lui aussi à nos premiers parents divinisée et notamment à la déesse-mère sous son rôle de grande déesse des morts, celle qui leur a donné naissance, celle qui les a condamnés à mort et celle qui, prétendument, les régénère par le pouvoir purificateur de son four matrice.

 

 

 

NOTES DE BAS DE PAGE ET RÉFÉRENCES

 

[143] Déonna Waldemar, Le symbolisme de l’œil, Paris, École Française d’Athènes, 1965, 321 p..

[144] Alain Bauer et Roger Dachez, Lexique des symboles maçonnique, Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? », 2014, 127 p.

[145] https://www.gadlu.info/loeil-qui-voit-tout-loeil-de-la-providence-loeil-maconnique/

[146] gadlu étant l’acronyme du Grand Architecte De L’Univers et un nom sumérien ô combien évocateur ! (littéralement : « ga la matrice de ad le père lu l’homme primordial / le cerf  »)

[147] Massimo Graziani – Psychologie de la franc-maçonnerie symbolique

[148] Cela prendra encore le temps de la reconnaissance du Grand Architecte de l’Univers avant que la pierre de faîte ne s’ajuste finalement sur la pyramide et que la nation soit en possession de son pouvoir pour être en mesure d’assurer son rôle de leadership sur les nations du monde pour établir le Nouvel ordre des Âges dans Les Grands Mystères de l’Histoire, no 40, février 2009, L’histoire secrète des États-Unis, p. 28

[149] Fernand Felix Schwarz, Le sacré camouflé ou la crise symbolique du monde actuel, Cabédita, 2014, 116 p..

[150] (šu-biz ! ; vous comprendrez ce « trait d’humour » après)

[151] Psaumes 37 : 20 ; Psaumes 90 : 10 ;

Psaumes 37 : 20 : Cependant les impies périront, eux, les ennemis de Yahvé ; ils s’en iront comme la parure des prés, en fumée ils s’en iront. (Bible de Jérusalem)

Psaume 90 : 10 : Le temps de nos années, quelque 70 ans, si la vigueur y est ; mais leur grand nombre n’est que peine et mécompte, car elles passent vite, et nous nous envolons. (Bible de Jérusalem)

[152] I Jean 2 : 17 : Car tout ce qui est dans le monde — la convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l’orgueil de la richesse — vient non pas du Père, mais du monde. 17 Or le monde passe avec ses convoitises ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. (Bible de Jérusalem)

[153] Jérémie 17 : 13 ; Osée 2 : 17

Jérémie 17 : 13 : Espoir d’Israël, Yahvé, tous ceux qui t’abandonnent seront honteux, ceux qui se détournent de toi seront inscrits dans la terre, car ils ont abandonné la source d’eaux vives, Yahvé. (Bible de Jérusalem)

[154] Jean 14 : 30 : Je ne m’entretiendrai plus beaucoup avec vous, car il vient, le Prince de ce monde ; sur moi il n’a aucun pouvoir. (Bible de Jérusalem)

[155] Matthieu 4 : 8-11 : De nouveau le diable le prend avec lui sur une très haute montagne, lui montre tous les royaumes du monde avec leur gloire 9 et lui dit : « Tout cela, je te le donnerai, si, te prosternant, tu me rends hommage. » 10 Alors Jésus lui dit : « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : C’est le Seigneur ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. (Bible de Jérusalem)

[156] Révélation 12 : 10 : Et j’entendis une voix clamer dans le ciel : « Désormais, la victoire, la puissance et la royauté sont acquises à notre Dieu, et la domination à son Christ, puisqu’on a jeté bas l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait jour et nuit devant notre Dieu. (Bible de Jérusalem)

[157] https://fr.wikipedia.org/wiki/Hollywood_Walk_of_Fame

[158] https://en.wikipedia.org/wiki/Hall_of_Fame_(song)

[159] Écrite et coproduite par le groupe, la chanson parle de suivre ses rêves et d’avoir un impact sur le monde. Depuis sa sortie, la chanson a fait l’objet de licences d’utilisation dans divers médias. « … » La chanson a par exemple été utilisée comme générique pour les cérémonies du Hall of Fame d’Impact Wrestling et de la WWE. Elle a également été utilisée lors de récents matchs du Hall of Fame de l’Arena Football League et de la National Football League.

[160] https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2024/02/23/un-apero-avec-santa-mes-amis-m-ont-dit-il-faut-que-tu-le-chantes-ca-va-faire-du-bien-aux-gens_6218174_4497916.html

[161] A la date où je rédige ces lignes nous sommes le 28/02/24.

[162] Nous aurons l’occasion de voir que l’enseignements des saints de l’Eglise n’a rien de chrétien, mais renvoie à un rite païen de sorte que « santa » prend exactement le sens contraire de ce qu’il apparait au peuple.

[163] Snt formule magique, conjuration policier colère (Faulkner, réed.2017, p. 329)

SnT  insulter (Dieu); s’opposer à; punir  (Faulkner, réed.2017, p. 329)

SnTw conflits, dispute ; ennemi ; aussi SnT, Snty ; Cf. SnT insulter; s’opposer à; punir (Faulkner, réed.2017, p. 329)

[164] hy salut !, cri (Faulkner, réed.2017, p. 194) ; hy-hnw jubiler ; Cf. hy cri et hnw louanges https://www.hierogl.ch/hiero/hy-hnw ; hyhy   acclamer, faire une acclamation (Faulkner, réed.2017, p. 194)

[165] Hf  serpenter, parcourir (lion dans les monts) (Faulkner, réed.2017, p. 208)

HfAt, Hft  ver intestinal HfAt  posture rampante (Faulkner, réed.2017, p. 208)

[166] fnT  fnt  serpent; ver; être rempli de vers, véreux (Faulkner, réed.2017, p. 122)

[167] fnfnw  récompense, salaire (Faulkner, réed.2017, p. 121)

[167B] Merci à Stacy pour ces précieux rappels !

[168] https://fr.wikipedia.org/wiki/Illuminati

[169] https://www.littre.org/definition/illuminer.

[170] Rappelez-vous ce que nous avons vu dans l’analyse de la main à l’origine du mot main français et ses racines sumériennes man, men ; cf aussi la suite de l’article avec la décomposition de illuminati en illu-mina-ti

[171] íl-lá : elevation (‘to lift’ + ‘to hang’; cf., dùn-lá, ‘depression’)  (A.Halloran, 1999, p. 105) ; Volume 4 Lexique sumérien-français : íl-lá = élévation (« lever » + « suspendre »).

[172] íla, íli, íl : n., carrier.., to lift, carry; to deliver; to bring; to endure; to support; to carry forward (in accounting); to be high; to shine (íl-i in marû) (A.Halloran, 1999, p. 105) ; Volume 4 Lexique sumérien-français : íla, íli, íl = nominatif : transporteur ; verbe : lever, porter, livrer, amener, endurer, supporter, reporter ; être élevé ; briller (íl-i à marû)

[173] lal, lá (la2): v., to be high; to hold; to lift; to carry; to hang (from) (with – ta-) ; to weigh; to pay; to deduce; to strap, harness (with – ši-); to dress oneself; to place, set; to bind (a reed pillar); to stretch, extend, reach; to load; to lessen, be few, diminish; to accuse, denounce; to fall back, retreat (cf. also, lá) (reduplicated íla, ‘to carry, support’). adj., light, deficient; minus (cf. also, lá). (A.Halloran, 1999, p. 31) / Volume 4 Lexique sumérien-français : lal, lá (la2) = être élevé ; tenir, élever, porter, suspendre (à partir de) (avec -ta-) ; peser, payer ; déduire ; sangler, attacher, harnais (avec -ši-) ; s’habiller ; placer ; mettre ; attacher, lier (une colonne, pilier de roseau) ; étaler, étendre, rejoindre ; charger ; réduire ; être peu, diminuer ; accuser, dénoncer ; se rabattre, se retirer (voir aussi lá) (duplication de íla, « transporter, soutenir). Adjectifs : léger, déficient, minus (voir aussi lá).

[174] En conclusion de son analyse de « Īl » et « Ēl », Mr MICHEL relève très justement que ce nom est très vraisemblablement d’origine suméro-akkadienne :

« L’origine du terme īl/ēl se perdant dans les millénaires, en rend hasardeuse la recherche, et il est bien possible que la racine sémitique √’WL, « … » en soit dérivée, plutôt que l’inverse. Car, nous en trouvons le parallèle ou les prémices dans le sumérien ĪLU qui a entre autres sens, celui de « dieu » (nom commun) et ILLA (IL-LA) « hauteur » entre autres sens. De plus, les termes sumériens, à la fois verbes et noms, ĪL et ĪL+ voyelle(71) veulent dire : « porter, hausser, soulever, un levier, une élévation, un outil pour soulever », entre autres. Il est probable que c’est dans le sumérien qu’il faut chercher l’origine d’une part, du terme ī/ēlu akkadien et < ’la> amorite au sens de « dieu », transmis au reste du nord-sémitique, et, d’autre part, du verbe akkadien elû, « s’élever ».

http://www.selefa.asso.fr/files_pdf/AcLETTRE_07-08_02.pdf

[175] illu : high water, flood; (amniotic) fluid; resin. (Halloran, p. 19) avec traduction au Volume 4 / Lexique sumérien-français :  illu = eau élevé, déluge ; liquide amniotique ; résine.

[176] a, e4 = nom. : water; watercourse, canal; seminal fluid; offspring; father; tears; flood (A.Halloran, 1999, p. 3) avec traduction au Volume 4 / Lexique sumérien-français : a, e4 = au nominatif  = eau, cours d’eau, canal, fluide séminal, descendance, père, larmes, inondation ou déluge. 

[177] mana, mìna, man, mìn, men5 : partner; companion; equal; two (cf., mina, ‘two’) (A.Halloran, 1999, p. 37). Volume 4 / Lexique sumérien/français :  mana, mìna, man, mìn, men5 désignent un partenaire, compagne/on, un égal, le chiffre deux  (cf., mina « deux »).

[178] Tán [MEN] : to become clean, clear, light, free (ta, ‘nature, character’ + an, ‘sky, heaven’) (A.Halloran, 1999, p. 38) ; Volume 4 / Lexique sumérien/français :   Tán [MEN] = devenir propre, clair, lumineux, libre (ta « nature, personnage » + an « ciel »).

[179] na = n., human being; incense adj., no. (Halloran, p. 13) avec traduction au Volume 4 / Lexique sumérien-français : na = être humain, encens

[180] ni ; na = he, she; that one (human animate pronoun or possessive suffix) (Halloran, p. 13) avec traduction au Volume 4 / Lexique sumérien-français : ni ; na = il, elle, celui-ci, celui-là (pronom animé humain ou suffixe possessive)

[181] ùña, ùñ, ùku, un(– ñá) = people; population; crowd (Halloran, p. 18). Volume 4 / Lexique sumérien-français : ùña, ùñ, ùku, un(— ñá) = peuple, population, foule

[182] nè; ní : strength, vigor, violence; forces, host. (A.Halloran, 1999, p. 13); Volume 4 / Lexique sumérien-français :  nè ; ní = puissance, vigueur, violence ; forces, hôte ou hôtesse

[183] ní ; ne4 : fear; respect; frightfulness; awe (A.Halloran, 1999, p. 13); Volume 4 / Lexique sumérien-français :  ní ; ne4 = peur, respect, effroi ; admiration

[184] : self; body; one’s own (A.Halloran, 1999, p. 13); Volume 4 / Lexique sumérien-français :  = soi, le corps, soi-même

[185] ni9 = cf nìñin = (A.Halloran, 1999, p. 14) nìñin, ni9 : premature or stillborn child; malformed child; monstrosity (A.Halloran, 1999, p. 63). Cf Volume 4 Lexique français-sumérien  : nìñin, ni9 = prématuré ou enfant mort-né ; enfant malformé ; monstruosité.

[186] niñin2 : n., enclosure, circle; capacity; whole (cf., kilib and gur4-gur4) v., to halt, turn away; to turn round; to surround; to assemble; to pen up cattle; to wander about; to circle; to make the rounds (usually níñin [LAGAB] for hamtu form and niñin or ni10-ni10 [lagab-lagab] for marû form) (; ne4, ‘fear’, + ñin, ‘to go’) / (A.Halloran, 1999, p. 63) Cf Volume 4 Lexique français-sumérien  : niñin2 = une enceinte, un cercle ; une capacité ; la totalité (voir kilib and gur4-gur4). Verbes : arrêter, s’arrêter, cesser ; détourner, refuser, rejeter ; se retourner ; entourer ; assembler ; mettre un troupeau dans un enclos ; errer ou se promener ; encercler ou tourner ; faire le tour de (d’ordinaire níñin[LAGAB] pour la forme hamtu et niñin ou ni10- ni10 [LAGAB.LAGAB] pour la forme de marû)  ( ; ne4, « peur »+ ñin, « aller »).

[187] nin = queen, mistress, proprietress, lady; lord (reduplicated ní, ‘fear; respect; frightfulness; awe’) (A.Halloran, 1999, p. 63) Cf Volume 4 Lexique français-sumérien  : nin = reine, maîtresse, propriétaire (fem.), dame ; seigneur (redoublé « ní », « peur, respect ; effroi » ; « admiration »)

[188] (mušen) nínna : nocturnal bird – owl (nin ‘fearsome lady’, + a nominative suffix; the predatory owl with its human-like face probably gave rise to the demon Lilith myth; cf., nin-nínnamušen). (A.Halloran, 1999, p. 38) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : (Mušen) nínna = oiseau nocturne, chouette (« nin » « dame effrayante + « a » suffix : la chouette prédatrice avec son visage ressemblant à celui d’un humain est ce qui dû donner naissance au mythe du démon de Lilith myth ; cf., nin-nínnamušen).

[189] ninindu, nindu, inda4: oven; stove (cf., immindu). (A.Halloran, 1999, p. 64) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : ninindu, nindu, inda4 = four , poële (cf., immindu).

[190] tud, tu, dú : to bear, give birth to; to beget; to be born; to make, fashion, create; to be reborn, transformed, changed (to approach and meet + to go out). (A.Halloran, 1999, p. 24) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : Tud, tu, dú = porter, donner naissance à ; engendrer ; être né ; faire, façonner, créer ; être né de nouveau, transformé, changé (approcher et rencontrer + sortir).

[191] cf. Volume 3 La Bible du symbole de la religion mythologique préhistorique et antique / le symbolisme du four.

BIBLIOGRAPHIE

 

Voir les notes bas de page

RAPPEL DU LIEN DE CET ARTICLE AVEC TOUTE LA SÉRIE  LITTÉRAIRE  « LA VÉRITABLE HISTOIRE DES RELIGIONS DE L’HUMANITÉ »

 

Cet article est tiré du livre LA RÉVÉLATION DU MYSTÈRE SACRÉ DE LA GRANDE DIVINITÉ REPRÉSENTÉE EN POSITION D’ACCOUCHEMENT ET DE SON SYMBOLE DE LA MAIN

que vous pourrez trouver à la rubrique :

LES LIVRES DÉJÀ PARUS

 

Que vous pouvez aussi lire en ligne sous forme de deux articles / chapitres : 

LE CULTE DE LA DÉESSE-MÈRE ET LA RAISON DE SA REPRÉSENTATION EN POSITION ACCROUPIE

DE LA MAIN DE FATMA À LA MAIN RUPESTRE PRÉHISTORIQUE, LA SIGNIFICATION CACHÉE DU SYMBOLE DE LA MAIN : LA MÈRE PRIMORDIALE DIVINISÉE EN RÉGÉNÉRATRICE DES MORTS

 

Ce livre étant le livre 1 du grand volume 3 intitulé : 

LA BIBLE DU SYMBOLE DE LA RELIGION MYTHOLOGIQUE PRÉHISTORIQUE ET ANTIQUE

 

Volume 3 qui fait l’objet d’une rubrique dédiée sur le site au lien suivant : 

LE DICTIONNAIRE DES SYMBOLES

 

Si vous souhaitez bien comprendre l’articulation des volume et de leur différents livres au sein de la grande série littéraire intitulée « la véritable histoire des religions de l’humanité », alors rendez-vous à la page :

INTRODUCTION / STRUCTURATION ET CONTENU DE LA SÉRIE LITTÉRAIRE : « LA VÉRITABLE HISTOIRE DES RELIGIONS DE L’HUMANITÉ

RAPPEL DES DROITS D’AUTEUR

 

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