UN SYMBOLISME DU PHALLUS : LE PÈRE DES DIEUX

Partager :

LIEN DE CE LIVRE AVEC TOUTE LA SÉRIE  LITTÉRAIRE  « LA VÉRITABLE HISTOIRE DES RELIGIONS DE L’HUMANITÉ »

 

Cet extrait est tiré du livre bientôt disponible à la vente sur ce site (au format PDF et numérique). 

Vous pouvez vous rendre à ce lien pour le précommander que vous pourrez trouver à la rubrique :

LIVRES DÉJÀ PARUS

Pour en lire un autre large extrait (les 100 premières pages) vous pouvez vous rendre à ce lien : 

DE DIEU À LA CRÉATION D’ADAM

Pour bien comprendre la raison d’être de ce livre au sein de la série littéraire la véritable histoire des religions de l’humanité, rendez-vous à la page :

INTRODUCTION / STRUCTURATION ET CONTENU 

OBJECTIF DE CET ARTICLE

 

Cet article a pour objectif de vous permettre de comprendre l’un des sens majeurs du symbolisme du phallus, savoir qu’il représente notamment le père des dieux, au moyen de l’analyse étymologique sacrée (sumérienne et hiéroglyphique) et de l’analyse comparative symbolique et mythologique.

C’est le plus bref développement parmi les 16 autres symboles initiés dans le livre « De Dieu à la création d’Adam » qui traitera aussi des certains des sens premiers des symboles de : l’habitation, du centre, de l’axe, du phallus donc, de la queue, de la position ithyphallique, du cercle, du globe et de la sphère, de l’étoile, de la roue, de l’œil, de la caverne, de la voute et du dôme, du carré, du temple.

Il me sert à vous aider à comprendre aussi la méthode avec laquelle les différents symboles mythologiques sacrés seront progressivement et exhaustivement analysés dans le Volume 2.

Tous les symboles feront ensuite l’objet d’un volume à part intitulé le Dictionnaire des symboles qui les présentera sous la forme d’un dictionnaire. Il en contiendra près de 500…

Vous pouvez déjà en avoir une ébauche à ce lien : 

LE DICTIONNAIRE DES SYMBOLES DE LA MYTHOLOGIE 

Cet article me permet aussi de démontrer à mes lecteurs que mon analyse est loin de se limiter à une lecture judéo-chrétienne, qui est ma confession personnelle mais que, bien au contraire, je me suis efforcé d’analyser pour ne pas dire disséquer avec une extrême précision la religion mythologique, tous ses concepts, doctrines et mode de représentation, afin que celle-ci soit non seulement parfaitement claire pour moi mais aussi pour toutes celles et ceux désireux/ses de Savoir. Car je reste convaincu qu’il ne peut pas y avoir de liberté de choix sans choix c’est à dire sans une parfaite et intime connaissance de l’Autre et de son système de pensée. J’espère donc que ce bref article vous donnera un aperçu de la valeur de mes recherches et vous incitera à lire mes écrits.

Enfin, j’espère que ce bref exemple vous permettra de comprendre qu’il est parfaitement impossible de décrypter les récits mythologiques comme les représentations de type mythologique, depuis la Préhistoire jusqu’à l’Antiquité, si cette connaissance des symboles n’a pas été préalablement acquise, à l’instar d’une véritable nouveau langage à apprendre, en l’occurrence, le langage symbolique sacré de nos ancêtres.

Je vous souhaite une bonne lecture,

Yvar

ABONNEZ-VOUS AUSSI À MA PAGE FACE BOOK : 

Table des matières

Un symbolisme du phallus : le père des dieux

 

Introduction au symbolisme du phallus

 

Nous allons voir dans cette partie les éléments de preuve qui attestent que le phallus est un symbole direct du géniteur primordial, du père des dieux, réputé être la première émanation du grand Tout et le fait qu’il se soit autogénéré ou créé de lui-même.

Il faut aussi comprendre en disant cela qu’il serait réducteur de limiter le symbolisme du phallus et, à travers lui, de l’axe et des ses autres symboles associés, à la seule représentation du père des dieux. En effet, nous verrons qu’il symbolise aussi, étonnamment, autre chose. Comme quasiment tous les symboles, sa polysémie est multiple et, au-delà des apparences, nous verrons donc dans la suite du volume 2 son autre symbolisme profond, en lien direct avec celui des pierres levées, dressées de type menhir. 

Toutefois, puisque c’est là un de ses sens premiers que démontre tant l’étymologie que l’analyse comparative symbolique (on peut aussi ajouter le bon sens commun) il est important d’en parler.

Nous verrons tout de suite après le symbolisme associé de la queue puis du dieu en position ithyphallique (la représentation d’un dieu en érection), qui est un symbolisme très archaïque (de l’homme tombé de la scène du puits de Lascaux en passant par Göbekli Tepe aux nombreuses grandes divinités de l’époque historique) évidemment en lien direct avec l’axe et le phallus.

 

L’apport de l’étymologie gréco-latine

 

Le phallus est donné comme provenant du latin phallus, issu du grec ancien φαλλός, phallós.

Il faut relever que Ος est la marque du nominatif en grec. Ος se prononce os.

En Grec ancien, un os se traduit par ὀστέον, ὀστοῦν (ostéon et ostoûn)

Par un jeu de mots, osteon ou ostoûn déformé en ostheos peut alors signifier l’os de dieu, puisque dieu se dit θεός, theós en grec ancien.

 

Nous verrons une fois compris l’origine même du mot grec pour dieu que cela peut avoir de profondes implications, mais pour l’heure restons en là.

Il en résulte que, si l’on considère que le us de phallus est simplement le suffixe nominatif, la racine qu’il nous intéresse d’analyser est phall.

 

L’apport de l’étymologie sumérienne

 

Même si, comme nous venons de le voir, os n’est pas nécessairement partie intégrante du mot phallus objet de cette analyse, il est tout de même intéressant de rappeler ce que ce us équivalent du sumérien signifient.

À tout le moins, cela permettre de comprendre pourquoi justement il a été choisi par les Grecs comme marque du nominatif.

 

Rappel de us, uz, uš

 

Nous avons déjà vu qu’en en relation immédiate avec le grand Tout cosmogonique, signifie :

La totalité ou le Grand Tout en tant que géométrie (ús, úz signifie « la longueur, la hauteur, ce qui est vertical, perpendiculaire »[1]. Il est donc bien question du grand Tout géométrique, d’un espace infini en 3D).

La fondation (ou ús au nominatif signifie une fondation et dans son sens verbal, soutenir, soulever, se tenir sur[2]. De même, 8 signifie un lieu de fondation, une base[3]).

Ces logogrammes désignent donc potentiellement le Grand Tout à la fondation du monde comme le cosmos physique géométrique.

Il est aussi question du Grand Tout dans le domaine spirituel puisque 5 désigne la sagesse, le discernement, l’intelligence, la réflexion, la décision[4].

Il a aussi été relevé que, de façon remarquable, ce ce grand Tout spirituel et physique, ce grand Tout cosmogonique est parfaitement synonyme d’un homme en position ithyphallique, d’un homme géniteur primordial, puisque est un homme et aussi un phallus (uš (ou gìš) signifie un homme, un pénis[5]) comme aussi d’un compagnon ou conjoint (nous verrons que c’est le symbolique du mot « côté » que signifient aussi ús, úz, uš).

Ainsi, ce simple logogramme, de par ses doubles sens, emporte déjà à lui seul la  double représentation égyptienne du grand Tout primordial le « Nun » avec son dieu primordial Atoum qui en émerge par sa prise de conscience (sa sagesse, son intelligence) en position ithyphallique géniteur du monde.

J’avais alors observé que cette vision égyptienne était nécessairement sous influence de la pensée sumérienne. D’autant que le nom de noun égyptien donné au Grand Tout primordial est, nous le verrons, sans doute d’emprunt sumérien (nun).

À ceci, j’avais ajouté les éléments suivants :

úš au nominatif désigne le sang, un vaisseau sanguin[6].

Et donc la vie en provenance de la matrice de la mère puisque désigne aussi la membrane du placenta ou le placenta lui-même[7].

Nous avons vu que la salive en sumérien se dit aussi 7 [8] ou 11 [9]  et est ainsi associée au sang et à la force vitale, à l’énergie de vie qu’il véhicule.

Enfin, notons que úš signifie aussi « la mort » dans son sens nominatif comme verbal (« mourir, tuer, bloquer ») ou adjectif (« mort »)[10].

Outre l’éclairage que cela donne sur le sens du sang et de la salive, ce logogramme emporte donc aussi le double sens de vie comme de mort, en soutien de la conception mythologique que le Grand Tout, étant la fusion de tous les contraires, est en permanence pris dans un cycle de mort et de renaissance perpétuel.

 

–) Ce qu’il nous faut retenir dans la logique présente de l’analyse du phallus est donc qu’il représente incontestablement et notamment la première émanation, manifestation du Grand Tout : le père des dieux en position ithyphallique, en tant que géniteur primordial, un époux, la source de la vie, de l’énergie vitale (sang, salive).

 

Phal, pal

 

Étant donné que p/f est un bêtacisme usuelle et que le f n’existe pas en sumérien, phal se dit donc « pal »[11].

 

Or pal est la résultante de la conjonction des logogrammes pa-al soit des logogrammes déjà bien connus et signifiant pa le père[12] al le père élevé (revoir explications précédentes sur al).

Il faut toutefois ajouter, ce qui est important,  qu’a n’a pas pour seule signification un père : a désigne aussi, en sumérien un canal, du liquide séminal[13].

Nous comprenons alors que l’al puisse aussi désigner un canal élevé/divin, du liquide séminal élevé/divin.

Et qu’y a-t-il alors de plus approprié qu’un phall(us) pour représenter l’un et l’autre ?

Et surtout, ce fait est, selon moi, une preuve qui indique que le phallus représente le fait que le père des dieux s’est lui-même auto-créée, autogénéré, puisque le sperme qu’il éjecte à travers son canal est finalement strictement synonyme de lui-même !

 

Nous verrons aussi plus loin que ce logogramme pal renvoie à un autre symbole étroitement associé au père primordial.

 

Vous l’avez compris, ce phal / pal est le sens étymologique et mystique de la célèbre pierre celtique, la pierre de Fàl situé dans l’enclos majeur le Ráith na Ríogh (le Fort des Rois) du site de Tara en Irlande, un site que nous étudierons dans le détail dans le livre dédié aux sites mégalithiques.

C’est aussi, à titre d’autre exemple, le sens profond et l’origine même du mot à l’origine de l’italien, « palo » qui désigne un poteau, d’où, pardonnez-moi l’expression, le lien très intime entre le phallus et le poteau…

Je pense objectivement que vous ne lirez toutes ces explications nulle part puisque le dogme en vigueur (plus pour très longtemps maintenant) continue de nier l’évidence, savoir que la langue sumérienne et hiéroglyphique est au fondement de la science sacrée symbolique.

 

L’apport de l’étymologie hiéroglyphique égyptienne

 

Il est tout aussi intéressant de voir l’autre nom que l’égyptien donne au phallus : bAH[14]

Concernant AH, nous verrons dans le livre sur Adam le commencement que le H s’élude et qu’il est aussi une autre façon de nommer le père primordial (d’ailleurs, virilité se dit bAAwt  [15] ce qui une autre preuve de l’élision du H).

 

Ainsi, le phallus peut s’écrire bA.

 

Rappel de bA

 

Et nous avons vu (dans l’analyse du nom du dieu baal, bal/bel) que l’imagerie que convoie ba(-a)/baA/bAA/bA est celle de l’âme d’un grand notable aîné, un époux, un logos devenu un vieillard (rappel : nous verrons que tas de décombres = vieillard) (sous le symbole du vautour) qui brille.

Qui est à rapprocher du sumérien « ab-ba » qui désigne « le père »[16] strictement identique  à l’araméen אבא/ܐܒܐ ʼabbāʼ, (« père ») dont il nous est dit que proviendrait  le grec ancien ἀββᾶ, abba[17].

 

Fondamentalement, l’égyptien, comme le sumérien, nomme le phallus comme il nomme le père.

 

L’apport de la symbologie comparée

 

La symbologie comparée dégage pour le phallus la symbolique de la puissance génératrice[18], la Source de la vie[19], qui est l’un des aspects évoqués par l’étymologie.

Comme c’est un axe, il est aussi réputé être un symbole d’équilibre, avoir une fonction équilibrante[20]

Il est aussi très intéressant de relever que la symbologie évoque le phallus comme étant source et canal de la semence (qui se jette dans la (mère/)mer)[21], deux éléments parfaitement identifiés par l’étymologie étymologique (sumérienne).

 

 

NOTES DE BAS DE PAGE ET RÉFÉRENCES

 

 

[1] ús, úz [UŠ] : n., side, edge ; distance; in geometry: length; height; vertical; perpendicular. v., to follow; to drive; to come near to, reach; to let reach; to transport, bring; to join; to be next to, border; to moor, dock; to lean against (cf., ñíš).(A.Halloran, 1999, p. 7) Volume 4 / Lexique sumérien-français : ús, úz (UŠ) = nominatif : coté, bord / coin / angle, distance ; en géométrie : longueur, hauteur, vertical, perpendiculaire. verbes : suivre, conduire, s’approcher, atteindre, laisser atteindre, transporter, amener, rejoindre, être proche de, border, amarrer, arriver à quai, s’appuyer contre (cf., ñíš).

 

[2] uš, ús = nominatif : fondation / verbe : soutenir, soulever, se tenir sur (A.Halloran, 1999, p. 8)

 

[3] 8 = lieu de fondation, base (A.Halloran, 1999, p. 8)

 

[4] umuš, uš4 : discernment; intelligence; reflection, consideration; decision (u6, ‘to be impressed’ + máš, ‘to examine, inspect’). (A.Halloran, 1999, p. 69) Volume 4 / Lexique sumérien-français : 4 = discernement, intelligence, réflexion, décision

 

[5] gìš/ = « homme, pénis » (A.Halloran, 1999, p. 70)

 

[6] úš: n., blood; blood vessel; death [? zatu-644]. v., to die; to kill; to block (singular hamtu stem). adj., dead (A.Halloran, 1999, p. 8) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : úš = nominatif : sang, vaisseau sanguin, mort/Verbes : mourir, tuer ; bloquer/adjectif : mort (zatu sign)

 

[7] = membrane du placenta, placenta (A.Halloran, 1999, p. 8)

 

[8] 7 = salive (A.Halloran, 1999, p. 8)

 

[9] 11 : venin, poison, salive, esclavagiste ; mouillage (humidité) ; épeler, charme

 

[10] úš: n., blood; blood vessel; death [? zatu-644]. v., to die; to kill; to block (singular hamtu stem). adj., dead (A.Halloran, 1999, p. 8) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : = nominatif : sang, vaisseau sanguin, mort/Verbes : mourir, tuer ; bloquer/adjectif : mort (zatu sign)

 

[11] Nous verrons divers exemples de ce bêtacisme avec l’association entre le dieu Pan et le Faun. Voir aussi le sens du nom du dieu Phaëton au livre 3 / Index des nom divins en ce qu’il se décompose en Pa-aton ou pa-adon.

 

[12] pab, pap, pa4 : father; brother; man; leader (A.Halloran, 1999, p. 22) ; Cf  Volume 4 / Lexique sumérien-français : pab, pap, pa4 = père, frère, homme, dirigeant

 

[13] a, e4 = nom. : water; watercourse, canal; seminal fluid; offspring; father; tears; flood (A.Halloran, 1999, p. 3) avec traduction au Volume 4 / Lexique sumérien-français : a, e4 = au nominatif  = eau, cours d’eau, canal, fluide séminal, descendance, père, larmes, inondation ou déluge. 

 

[14] Cf Livre 3 / Lexique hiéroglyphes-français :  bAH  phallus

[15] Cf Livre 3 / Lexique hiéroglyphes-français : bAAwt  virilité (Faulkner, réed.2017, p. 96)

[16] Cf Livre 3 / Index sumérien-français : ab-ba : père, aîné, ancêtre (emprunté à l’akkadien) (A.Halloran, 1999, p. 76)

 

[17] https://fr.wiktionary.org/wiki/abba

 

[18] Symbole de la puissance génératrice, source et canal de la semence, en tant que principe actif. De nombreux symboles possédent un sens phallique, tels le pied•, le pouce•, la pierre levée, la colonne•, l’arbre•. etc. Leur  représentation n’est  pas forcément    ésotérique    (voir   linga••, omphalos)  ni  érotique:  elle  signifie  simplement la puissance génératrice, qui, sous cette forme, est vénérée dans de nombreuses religions.

La symbolique phallique – comme d’ailleurs dans toutes les anciennes traditions – tient un rôle important dans la pensée juive.

La neuviéme Selira Jessod considére la puissance de la génération comme le fondement de tout ce qui est vivant. « … » or, c’est sur le phallus que repose la vie, comme l’univers sur une colonne. Suivant l’opinion de Galien, qui prévaudra durant tout le Moyen Age, la semence provient du cerveau et descend le long de la moelle épinière. C’est pourquoi le phallus symbolise l’Orient, le Levant, l’Est mystique, …

(CHEVALIER-GHEEBRANT, Dictionnaire des Symboles, 2005, p. 746)

 

[19] Sous des représentations diverses, il désigne la force créatrice et il est vénéré comme la source de la vie. D’où l’importance donnée au bon et au mauvais usage de ce septième membre (voir G.C. Scholem, Les origines de la Kabbale, trad. Jean Lœwenson, coll. Par­ dès, Paris 1966, pp. 165-169).

(CHEVALIER-GHEEBRANT, Dictionnaire des Symboles, 2005, p. 747)

 

[20] D’après le Sepher Yerira, le phallus remplit une fonction, non seulement génératrice, mais équilibrante sur le plan des structures de l’homme et de l’ordre du monde. De là vient que ce septième membre, facteur d’équilibre dans la structure et le dynamisme humains, soit mis en rapport avec le septième Jour de la création, jour du repos, et avec le Juste, dont le rôle est de soutenir et d’équilibrer le monde.

(CHEVALIER-GHEEBRANT, Dictionnaire des Symboles, 2005, p. 747)

 

[21] ….lieu et origine de la vie, de la chaleur, de la lumière. Il est appelé le septième membre de l’homme: il est centre, et autour de lui  se ramifient les jambes, les bras, la colonne vertébrale par où coule la semence et la tête où se forme la semence. . Son partenaire, le huitième membre (féminin), lui fait face; il lui communique sa semence, tel un canal se déversant  dans la  mer. (CHEVALIER-GHEEBRANT, Dictionnaire des Symboles, 2005, p. 747)

 

BIBLIOGRAPHIE

 

 Proto-sumérien :

CNIL. Full list of proto-cuneiform signs

& Falkenstein, A. (1936). Archaische Texte aus Uruk. https://www.cdli.ox.ac.uk/wiki/doku.php?id=late_uruk_period :

Sumérien :

A.Halloran, J. [1999]. Lexique Sumérien 3.0.

Héroglyphique :

Faulkner. [réed.2017]. Concise dictionary of Middle Egyptian.

Hiero (hierogl.ch) (Hiero – Pierre Besson)

Démotique :

 The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu)

Hittite hiéroglyphique :

 Mnamon / Antiche scritture del Mediterraneo Guida critica alle risorse elettroniche / Luvio geroglifico – 1300 a.C. (ca.) – 600 a.C.

https://mnamon.sns.it/index.php?page=Scrittura&id=46

https://www.hethport.uni-wuerzburg.de/luwglyph/Signlist_2012.pdf

Archéologie :

Leroi-Gourhan, A. (1958). Le symbolisme des grands signes dans l’art pariétal paléolithique. Bulletin de la Société préhistorique française Année 55-7-8 pp. 384-398.

G.& S Sauvet et André Wlodarczyk (1977) : Essai de sémiologie préhistorique (pour une théorie des premiers signes de l’homme). Bulletin de la société préhistorique française / année 1977 / E&T 47-2 / p.545-558

Science des Symboles :

Chevalier-Gheebrant [2005]. Dictionnaire des Symboles. Paris: Robert Laffont.

Les mythologies  :

Guirand, J. [1996]. Mythes et Mythologie. Paris ; Larousse

Lien entre le chaldéen et la religion catholique :

A.Hislop. [s.d.]. Les deux Babylones.

LIEN DE CE LIVRE AVEC TOUTE LA SÉRIE  LITTÉRAIRE  « LA VÉRITABLE HISTOIRE DES RELIGIONS DE L’HUMANITÉ »

 

Cet extrait est tiré du livre bientôt disponible à la vente sur ce site (au format PDF et numérique). 

Vous pouvez vous rendre à ce lien pour le précommander que vous pourrez trouver à la rubrique :

Livres déjà parus

Pour en lire un autre large extrait (les 100 premières pages) vous pouvez vous rendre à ce lien : 

DE DIEU À LA CRÉATION D’ADAM

 

Pour bien comprendre la raison d’être de ce livre au sein de la série littéraire la véritable histoire des religions de l’humanité, rendez-vous à la page :

Introduction / Structuration et contenu

RAPPEL DES DROITS D’AUTEUR

 

Pour mémo et rappel, il convient de respecter les droits d’auteur, ce livre ayant été déposé.

©YVAR BREGEANT, 2024 Tous droits réservés

Le code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective.

Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L335-2 et suivants du code de la propriété intellectuelle.

Revoir l’explication à ce propos en en-tête de la rubrique la note préalable de l’auteur sur sa politique de mise à disposition de ses livres : Ma politique de mise à disposition de mes recherches

Partager :